Instantanément reconnaissable à ses courbes gracieuses et à ses deux aiguilles épurées, La D de Dior est devenue, depuis son lancement en 2003, un modèle incontournable de la Maison. Cette montre bijou – la première imaginée par Victoire de Castellane, la Directrice Artistique de Dior Joaillerie –, reflète les multiples facettes de la féminité, osant toutes les associations de matières, de couleurs et de dimensions.

Cette saison, cet objet de désir se décline dans une nouvelle version virtuose, baptisée la D My Dior, sur laquelle se déploient les graphismes du cannage, code historique de Dior. Motif signature, il apparaît sur l’assise des chaises Napoléon III qui accueillent les invités au 30, avenue Montaigne, à l’occasion de la présentation du New Look, le 12 février 1947. Symbole du style Dior, il n’aura alors de cesse d’inspirer les Directeurs Artistiques qui succèderont au couturier-fondateur.

Célébrant les savoir-faire de la haute couture et pensé tel un « ruban qui donne l’heure », le bracelet de cette irrésistible création se pare de lignes géométriques gravées à la main, qui se prolongent sur le cadran de ce précieux garde-temps, dans un jeu de formes et de reliefs envoûtant. Tour à tour serti de diamants ou finement ouvragé de dessins transcrivant la délicatesse d’un ruban de soie, son boîtier exprime toute la passion et la créativité des maîtres horlogers de la Maison. Proposée en or ou en acier argenté, cette pièce d’exception se dévoile en deux tailles – 19 mm et 25 mm – soulignant son design minimaliste, sublimant le poignet d’un supplément de grâce.

Une icône réinventée, qui affirme plus que jamais l’excellence des ateliers de Dior, alliant tradition et innovation, beauté et audace.