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La Rose des Vents de Dior

La Rose des Vents de Dior

Une étoile porte-bonheur invitant au voyage

23 janvier 2016

Tout commence à Granville, dans la villa où Christian Dior a passé son enfance. Face à la mer, construite à l’origine pour un armateur, elle s’appelle Les Rhumbs, du nom des trente-deux divisions de la rose des vents, et en effet, tout en elle pousse au voyage. Les îles Anglo-Normandes qui se détachent au loin par beau temps, les bateaux qui passent à proximité des côtes abruptes avant de rejoindre les Amériques. Et jusqu’au bassin, à l’arrière de la maison, dont le fond de mosaïque reprend le motif d’une rose des vents.


Tout commence à Granville et c’est aussi dans ce parc que naîtra la passion du couturier pour les fleurs : l’aubépine, le réséda et surtout la rose, sa préférée, qu’il jardinera lui-même.

Emilla Clarke, visage de la collection Rose des Vents de Dior Joaillerie
Emilla Clarke, visage de la collection Rose des Vents de Dior Joaillerie
 
Plus tard, à Paris, c’est en trouvant, au sol, une étoile un peu mystérieuse que Christian Dior, en grand superstitieux, décida d’ouvrir sa propre maison de couture, y voyant le signe de sa destinée. Et c’est de Paris ensuite, son étoile porte-bonheur en poche, qu’il partit aux quatre vents découvrir le monde et présenter ses collections où, toujours, la rose tenait la part belle.

 - <b>Sautoir « Rose des vents »</b>  or jaune - diamants - lapis lazuli - nacre et turquoise. <b>Réf. : JRDV95024</b>

Ce sont toutes ces histoires que l’on retrouve dans la collection Rose des vents de Victoire de Castellane. « J’ai voulu partir de l’idée d’un petit pendentif à motif. Et quoi de plus allégorique qu’un médaillon ? » demande la directrice artistique de Dior Joaillerie. « Derrière le symbole du voyage, on retrouve l’étoile de Christian Dior et l’idée d’un porte-bonheur, mais aussi la rose, sa fleur fétiche. Toute l’histoire de la maison est là, en filigrane. » Des colliers et des bracelets d’or blanc et de nacre, d’or jaune et de lapis-lazuli, de turquoise et de nacre ; ou bien d’or rose et d’onyx, ainsi que trois sautoirs d’or jaune et de turquoise, de lapis-lazuli et de nacre : les bijoux ont la délicatesse d’une petite histoire que l’on raconte sur le ton de la confidence.


En écho à la corde des navigateurs et à l’appel du large, une torsade djor grain de riz, cercle le médaillon qui se retourne sur sa chaîne, côté pierre dure ou côté rose des vents, au gré des mouvements. Bracelets, colliers, sautoir… la collection décline le motif et élargit l’horizon du bijou médaillon. « Rose des vents, c’est aussi une métaphore de la création », explique Victoire de Castellane. « Créer, c’est chercher, tourner en rond, et puis trouver son repère cardinal et partir en voyage. La création est l’empreinte d’un voyage immobile. »

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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