Emilla Clarke, visage de la collection Rose des Vents de Dior Joaillerie
Plus tard, à Paris, c’est en trouvant, au sol, une étoile un peu mystérieuse que Christian Dior, en grand superstitieux, décida d’ouvrir sa propre maison de couture, y voyant le signe de sa destinée. Et c’est de Paris ensuite, son étoile porte-bonheur en poche, qu’il partit aux quatre vents découvrir le monde et présenter ses collections où, toujours, la rose tenait la part belle.
Collier « Rose des vents » or blanc - diamant et nacre.
Réf. : JRDV95023
Collier « Rose des vents » or blanc - diamant et nacre.
Réf. : JRDV95023
Sautoir « Rose des vents » or jaune - diamants - lapis lazuli - nacre et turquoise. Réf. : JRDV95024
Sautoir « Rose des vents » or jaune - diamants et turquoise.
Réf. : JRDV95010
Sautoir « Rose des vents » or jaune - diamants et lapis lazuli.
Réf. : JRDV95011
Ce sont toutes ces histoires que l’on retrouve dans la collection Rose des vents de
Victoire de Castellane. « J’ai voulu partir de l’idée d’un petit pendentif à motif. Et quoi de plus allégorique qu’un médaillon ? » demande la directrice artistique de Dior Joaillerie.
« Derrière le symbole du voyage, on retrouve l’étoile de Christian Dior et l’idée d’un porte-bonheur, mais aussi la rose, sa fleur fétiche. Toute l’histoire de la maison est là, en filigrane. » Des colliers et des bracelets d’or blanc et de nacre, d’or jaune et de lapis-lazuli, de turquoise et de nacre ; ou bien d’or rose et d’onyx, ainsi que trois sautoirs d’or jaune et de turquoise, de lapis-lazuli et de nacre : les bijoux ont la délicatesse d’une petite histoire que l’on raconte sur le ton de la confidence.
En écho à la corde des navigateurs et à l’appel du large, une torsade djor grain de riz, cercle le médaillon qui se retourne sur sa chaîne, côté pierre dure ou côté rose des vents, au gré des mouvements. Bracelets, colliers, sautoir… la collection décline le motif et élargit l’horizon du bijou médaillon.
« Rose des vents, c’est aussi une métaphore de la création », explique
Victoire de Castellane. « Créer, c’est chercher, tourner en rond, et puis trouver son repère cardinal et partir en voyage. La création est l’empreinte d’un voyage immobile. »