Un rendez-vous Cartier
Un rendez-vous Cartier
au cœur de St Germain des Prés
31 mars 2016
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Accueil du Portier Cartier à l’hôtel Montana au cœur de St Germain
Tout commence dans une petite rue perpendiculaire au Boulevard St-Germain où un portier tout de Cartier vêtu laisse entrevoir l’entrée du Montana, un hôtel, noir de façade, sans signe ni insigne. Une fois l’antre pénétrée, c’est dans une ambiance jazz des années 30 qu’un groupe fredonne sur un rythme de Charleston « I’m happy » de Pharrell Williams.
#Entréenmatière. Habillées de la collection Paris Nouvelle Vague, deux mannequins vêtues de fourrure se pavanent sous les flashs d’un polaroid, faisant ressortir le subtil mélange de formes (cabochons, dômes ou grappes) et des couleurs (spinelles, améthystes ou lapis). Un clin d’œil à la ville lumière, maison de Cartier. #Histoire&Modernité.
Cartier, Bague cabochon morganite et perles, Collection Paris Nouvelle Vague
Il est beaucoup plus amusant de monter au dernier étage et redescendre les marches une à une, plutôt que le contraire, afin de découvrir les différents univers ou chapitres comme Cartier aiment les appeler, qui font de ce Rendez-Vous Cartier une expérience unique à travers plus de 300 pièces d’horlogerie, joaillerie ou accessoires. Quand on arrive à la Preppy Party, c’est une sorte de goûter à la barbe à papa où se mélangent les tons couleur pastel façon Courrèges des années 70.
Cartier, Preppy Party à l’hôtel Montana faite d’amulettes
Deux écolières jupes plissées et queue de cheval sautillent autour du bassin situé au milieu de la pièce tout en jouant entre les fraises tagadas et les amulettes colorées. En sautoir, en bracelet ou en bague ; en nacre, en malachite ou pavées de diamants les amulettes de Cartier sont à croquer !
La croqueuse de diamants est d’une telle sensualité que se dégagerait presque une sorte d’arrogance… qui s’accompagnerait parfaitement d’un air de « J’aime les diamants et alors ? » Allongée sur un lit, en robe Alaïa rouge flamboyant #RougeCartierPeutêtre, elle lit ou fait semblant. Entre les pages qui se tournent, elle admire son solitaire, pose son regard sur sa manchette sertie et fait tourner son Hypnose au poignet. #Hypnotysée. Elle joue et s’amuse à narguer la multitude d’écrins ouverts sur son lit ne sachant pas quel bijou elle choisira. #HardLife. Une chambre en rouge et noir qui met en avant la bichromie historique de la maison. Sur son lit ou sa commode, scintillent carats de pierres et pavages de brillants traduisant le manifeste Cartier en version bridal modern style !
Cartier, la Croqueuse de Diamants vêtue d’une robe Alaïa est allongée sur un lit
Mais où se trouve la chasseuse Wild & Chic ? Probablement cachée derrière les broussailles d’une jungle imaginaire. On retrouve l’iconique panthère imaginée pour la première fois en 1914 avant que Jeanne Toussaint ne lui donne une vie en trois dimensions dans les années 1920. Des santiags en reptile, un imapala sur le mur et un chapeau de chasseur se fondent à la perfection au serpent en diamants et saphirs roses en passant par la bague faucon en onyx ou le pendentif panthère en or ajouré aux yeux d’émeraudes facetées… Tout l’univers emblématique de la maison est réuni autour des félins et autres animaux sauvages dont la maison Cartier reste si attachée.
#wildandchic
Cartier - Chambre Chasseuse Wild & Chic
Bague Faucon pavée de diamants - émeraudes et onyx
Bague serpents diamants blancs et saphirs roses
Pour le chapitre Confident Man, quatre beaux-gosses au sourire Colgate - disons les choses simplement - jouent au poker sur une table basse aux cartes et jetons brandés Cartier. Si la blinde semble être des jetons de couleurs, les enchères sont à base de Clou serti, de manchette panthère ou de Clé de Cartier. Conseil : #Dontloose. Et en cas de montée de stress, une baignoire refroidie de bouteilles de champagne qui n’attendent que d’être bues dans la salle de bain mitoyenne. Après tout, il faut savoir se détendre dans un moment de panique ! #NoPainNoGain
Cartier, Chambre Confident Man jouant au Poker dans une chambre du Montana
Le clair-obscur de l’hôtel Montana - comme disent les littéraires qui ont tant de fois marché sur les pavés du Boulevard St Germain - offre un contraste de lumière de taille afin de mettre en avant les pièces iconiques de la maison. Un lieu de choix, une carte à dominante de caviar, un club privé, le tout dans une ambiance satinée où Cartier réinterprète chaque étage avec une histoire permettait de faire ressortir ce rouge omniprésent et si légendaire…
#CartierRendezVous, à quand le prochain ?